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| Comment se faire faucher en 10 leçons : direction Burberry (Jane) | |
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| Sujet: Comment se faire faucher en 10 leçons : direction Burberry (Jane) Mar 31 Mar - 17:46 | |
| -> Comment se faire faucher en 10 leçons : direction Burberry (Daniel et Jane)
Ce n'était pas dans ces habitudes d'aller faire du shopping pour reprendre l'expression utilisé par le femmes, mais quand il vit les misérables fringues (de riches) qui trainaient dans son armoire, il fut bien obliger de se rendre à l'evidence : Daniel devait aller faire les boutiques ! Il ne detestait pas cela, amis c'était lion d'être son activité favorite non plus. Mais bon, il ne voulait pas que sa mère lui reproche d'être négligé avec son apparence, etc ...
Alors, aprés un déjeuner copieux, il se défit de l'épais paignoir en coton, et s'habiller le plsu simpelement possible : Un jean Diesel, un polo Hugo Boss, etyses Converses noirs, qui étaioent elles aussi, dans un sale état. Le temps était frisqué à l'extrerieur. La brume recouvrait les toitures du quartier BloomsBury quand il sortit de la salle de bain, les cheveux encore humides, tout ébourrifé. Il devait aussi faire réparer ses lunettes qu'il avait accidentellment casser, les jours précèdents. Heureusement, il ne souffrait pas d'une miopie aîgue, ce qui faisait qu'il les portait peu, quand il était fatigué, en particulier. Il fourra dans son sac qui lui servait habituellemnet pour les cours (un sac noir comme tout le monde avait) un porte-feuille, aprés avoir verifier qu'il avait sa carte banquaire, et ses papiers à l'interieur, il y ajouta aussi ses lunettes dans leurs boitiers, en haussant les sourcils : Pourquoi les marques de luxes s'amusaient à faire des boitiers à LUNETTES hyper compliqués ? Enfin, il soupira, et descendit au garage, aprés avoir décrocher du porte menteau son manteau, c'était un caban que sa mère lui avait offert, un caban bleu marine auquel il tenait enormémant. Il saisit aussi son écharpe rayé blanc et bleu, qui avait mainetant quelques années, mais il y tenait de trop pour la laisser au fond de son armoire.
Il s'installa au volant de sa Volvo, balança son sac sur le siège passager, et il s'inquiéta alors d'où était son corbeau ... Il essaya de le contacter mentalement, la première tentative ehoua, puis àla seconde, il sut que Graphist était parti se "balader" avec une bonne amie (corbeau). Ok .... Autant ne pas chercher à savoir ce qu'il fabriquer, la saison des amours version corbeau n'était pas franchement une chose interressante à découvrire ...
Il eut un peu de mal à garer la voiture noir, puis trouva enfin une place. Il sortit de la voiture, se pencha pour recuperer ses affaires, sorti du vide poche son MP4 et en ecoutant la musique des Beatles, il ferma la voiture, mit son sac sur une épaule, et marcha rapidement sur le trotoire ... En passant il prit machinalement un croissant au beure dans une des pattiseries françaises de la capitale britannique. Il passa devant la Royal Academie, et puis, au bout de quelques minutes, enfin, il arriva devant le gigantesque Burberry de Londres.
Il se souvint quand à 5 ans, sa mère l'avait emmenait la prmeière fois dans ce magasin, il avait était plutôt emerveillé, tant de vêtement, tant d'espace ! Et puis, très vite, les soldes lui avait parus ennuiantes. Mais il avait tout de même gardé en memoire, l'exelante journée qu'il avait passé avec sa mère. Sa nourrice s'était cassé une jambe et impossible de lui trouvait une replacante, alors sa mère l'avait emener partout avec elle. La patinoire, le cinema, les boutiques de vetements, etc ...
Il entra, et eut un sourire légèrement amusé. L'effervecence dans le magasin était caractèristique : la nouvelle colléction était arrivée et les vendeuse étaient parties dans leurs garnds marathons de la vente ... Encore plus que d'habitude. D'ailleur, une femme vint le voir lui demandant si il avait besion d'aide, il refusa d'un leger hochement de tête.
Puis il monta dans les escaliers d'un style trés victorien, arrivé au deuxième, la parti homme, il haussa un sourcil, que Jane Scoot, la jeune blonde du clan des mysterieux, dans les rayons hommes ? *Elle a decidé de se travestir ? Dommage, elle était plutot belle !* |
| | | Jane Scott
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| Sujet: Re: Comment se faire faucher en 10 leçons : direction Burberry (Jane) Dim 5 Avr - 11:37 | |
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Une petite bruine glaciale avait commencé à tomber sur la ville dès le matin, et c'était depuis plusieurs heures maintenant qu'elle s'acharnait a rendre a la belle ville de Londres, un aspect un peu monotone et grisâtre. Dans un petit appartement une jeune femme a la chevelure dorée se frayait un chemin parmi les livres et les vêtements jonchés sur le sol. Sa chambre était une véritable caverne d'Ali Baba ravagée par un cyclone ou deux, bien évidemment. Elle grimaça quand, en étant arrivée a la porte, elle eut la très bonne mauvaise idée de se retourner. La vue de la pièce complètement sans dessus dessous lui donna un vertige, donc c'est vous dire l'état des lieux. ^^ Elle poussa un soupire de découragement, passa une main dans ses cheveux d'ange et quitta la pièce le plus vite possible. Il fallait qu'elle mette de l'ordre, mais ce n'était pas vraiment la motivation qui était à son comble. C'est pourquoi elle décida d'abord d'aller se faire un petit déjeuner : Verre de Jus de fruit et bol de muesli. Elle grignota le tout devant la télé', comme elle le faisait un Samedi matin. Sa colocataire était partie tôt ce matin la, aller savoir pourquoi. Après avoir terminé son petit encas, elle partit a la salle de bain pour s'habiller. Après avoir enfiler un petit débardeur gris, un slim blanc, ses petites ballerines rouge et sa petite veste en laine grise qui avait couté un saladier ( photo ici ) , elle passa vite fait au maquillage, ce qui lui prit tout de même dix bonnes minutes. Après s'être préparée, elle alla, à contre cœur, chercher son sac, une veste plus chaude au cas ou, et son portable dans sa chambre. Elle contrôla ses messages et se mordit la lèvre inférieur en se souvenant du jour qu'on était.. C'était l'anniversaire d'un garçon... Qui ne voyait sans doute pas qui elle était... Et qu'elle voulait absolument connaitre. Seulement voilà, être la meilleure amie du meilleur ami en question, ça avait des avantages pour piquer son numéro, se renseigner sur ses gouts et savoir les dates importantes, elle ne se voyait vraiment pas lui envoyer un texto.. Pour dire quoi : " Salut, je suis une inconnue, mais je te souhaite vraiment un bon anniversaire : La meilleure amie de ton meilleur ami. " ? C'était complètement idiot. Elle sortit de chez elle sans même réellement s'en rendre compte, juste pour sortir de sa tête toute ses idioties.
Elle marcha pendant de nombreuses minutes avant de se rendre compte qu'elle n'avait aucune idée de ou aller, et que tout les endroits qu'elle aimait était dans la direction opposée. Elle voulu se taper la tête contre le poteau dans l'espérance d'y retrouver son cerveau, mais préserva la sensibilité des Londoniens et décida de s'abstenir.. Elle appela un taxi pour partir en plein centre ville de Londres. Pendant que le taxi s'engageait dans la grande rue de Picadilly Circus, Jane sortait la monnaie de son porte feuille, tout en demandant au chauffeur de s'arrêter là. Une fois sortie de son très cher taxi, elle se dirigea dans un Starbucks Coffee Shop pour se prendre un café a la mousse onctueuse et délicieuse. Elle se dirigea ensuite dans une boutique, puis dans une autre, a regarder les nouvelles collections de Printemps tout en dégustant son gobelet devenu presque froid désormais.
Elle s'arrêta devant la grande boutique Burberry. Elle avait pas mal d'économies et, un petit sourire aux lèvres, fit la folie d'entrer. Elle parcourut les rayons Femmes curieusement, en essayant de nombreuses petites choses par ci et par la. Et puis, l'image de ce fameux garçon, Jason, lui revint en tête.. Elle poussa un profond soupire. Si seulement son fameux don a la noix pouvait lui faire oublier les choses qui lui prenait la tête. Elle monta à l'étage des hommes et parcouru quelques rayons à la recherche d'un truc qui pourrait plaire à son meilleur ami, et donc presque forcément à : Jason. Elle grimaça et lança des regards foudroyant aux personnes qui la regardait de travers parce qu'elle n'était pas dans le rayon femme. Ce n'était vraiment pas le moment de la chercher, alors qu'elle même ne savait pas réellement ce qu'elle avait décider d'entreprendre. Elle tourna la tête et tomba nez à nez avec un visage qui ne lui était pas méconnu. Elle arqua un sourcil et fit un petit sourire au garçon aux cheveux noir et aux yeux bleus glacial. Elle savait qu'elle l'avait déà vu.. Mais ou ? - Ahem.. Excuse(z) moi.. On ne s'est pas déjà croisé par hasard ? Elle regarda le jeune homme et se souvint enfin de ou elle l'avait croiser. Il faisait parti du même "clan" qu'elle, bien qu'elle ne lui ait jamais réellement adresser la parole. Il avait un nom de famille dont elle ne se souvenait plus, mais son prénom, lui, elle l'avait facilement retenu : Dan' ou Daniel plutôt.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Comment se faire faucher en 10 leçons : direction Burberry (Jane) Lun 6 Avr - 16:26 | |
| Il observa quelques secondes Jane, histoire d'être sur que c'était bien la Jane Scot des mysterieux ... Mmmm ... Ca en avait tout l'air, en effet. Dans ce cas, il n'y avait aucun doute qu'il s'était déjà croisé au QG du clan. Les rares fois où Dan s'y rendait, il restait seul avec son inseparable corbeau et observer le monde tourner ... Cela l'étonner d'ailleurs, que Jane vienne le voir comme ça. Mais il ne le prit pas mal, ça lui faisait plutôt plaisir. Oui, lui Dan, le gars qui paraissait pas forcément trés sympathique (pourtant il l'était), ça lui faisait plaisir que quelqu'un l'aboborde sans raison visible ... Pourtant il ne cherchait pas le contact, allant jusqu'à le fuir parfois.
Il eut un sourire et hocha la tête.
Il semblerait. Oui.
Il releva la tête et remarqua les regards ironiques des hommes et des quelques vendeuses autour d'elle. D'ailleur une de ces vendeuses s'approcha d'eux. Elle plaqua une mèche blonde derrière son oreille, Daniel sourit caustiquement, elle pouvait toujours les mettre en valeur comme elle voulait ses cheveux blonds industriels, la ve,deuse faisait bien pâle figure face à Jane et ses cheveux couleurs ors ... Petit sourire inutilement aimable, papillonement de cils, et s'était parti pour la panoplie parfaite de vendeuse cucu-la-praline.
Boujour. Je peux vous aider ? La nouvelle collection est par-là (petit signe de la main désignant la droite), les essayages par ici (signe de la main vers la gauche). Je me ferais un plaisir de vous conseiller dans vos choix.
Nouveau sourire toujours aussi ridiculement aimable et mielleux. Daniel lui rendit son sourire, bien qu'il fut de manière plus distingué et legeremant froid.
Je vais me debrouiller seul. Merci.
Visiblement, la fausse blonde n'avait pas fini, et fut décu de se faire interrompre par un jeune homme trop poli pour qu'elle puisse le reprendre. Enfin ... Elle s'accrocha.
N'hesiter pas aux moindres conseils, nous sommes à votre disposition.
Elle commençait à le gonfler, là ! Il prit un ton glacial.
Non. Merci. Aurvoir.
Voilà, elle l'avait pour sa poire, cette fois, et ayant comrpis, que ça servait à rien d'insister et ce tournat vers Jane. Et ce ne fut pas du tot le même sourire, cru voir Dan, non elle lui un sourire ironique.
Dois-je vous renseigner sur la localisation des rayons femme ?
Dan ne retient même pas son rire. C'était vraiment trop comique ! "la localisation des rayons femme", comme si une femme en entrant dans un magasin, ne remarqué pas que les trois-quart de la boutique l'a concerné et que, le dernier étage était pour les hommes.
Il attendit patiament que la vendeuse prit congé d'eux, à mions que ce ne soit eux, qui prirent congés de la veudeuse, pour se presenter.
Daniel BT'Crow. Jane Scott, n'es-ce pas ?
Dernière édition par Daniel BT'Crow le Mar 7 Avr - 21:53, édité 1 fois |
| | | Jane Scott
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| Sujet: Re: Comment se faire faucher en 10 leçons : direction Burberry (Jane) Lun 6 Avr - 19:39 | |
| Jane fit un large sourire, heureuse de ne pas s'être trompé. Avec le lycée, et les miliers de gens qu'il y avait dans sa ville, elle avait toujours 1 chance sur dix de tomber sur la bonne personne au bon endroit. Elle avait remarqué la solitude de Dan et ne savait pas si s'était une solitude choisie, car il ne voulait pas de contact, ou si s'était les autres qui ne s'approchaient pas de lui. C'est pourquoi son coté sociable l'avait poussée a l'aborder comme ça, sans raison particulière, juste pour faire connaissance. Ils étaient dans le même "clan" et ils ne s'étaient jamais adresser la parole. De quoi enrager un peu notre belle blonde.
- Ah, c'est cool je me suis pas trompée de Personne. Non pas que tu soies comme tout le monde, mais à chaque fois j'ai une chance sur dix de tomber sur la bonne personne et... Et ahem... Je parle trop.
Elle fit un petit sourire embarrassé et ouvrit la bouche pour dire encore quelque chose quand une vendeuse vint s'incruster entre les deux jeunes gens. Bonjour. Je peux vous aider ? La nouvelle collection est par-là (petit signe de la main désignant la droite), les essayages par ici (signe de la main vers la gauche). Je me ferais un plaisir de vous conseiller dans vos choix.
La vendeuse aux cheveux faussement blond, presque aubergine, fit un sourire hypocrite et mielleux à Dan. Jane hésita a intervenir, mais jugea meilleur de laisser Dan s'occuper de la demoiselle. Il l'envoya vaguement balader, mais la vendeuse, apparemment en quête d'un client à harponner, ne lâcha pas l'affaire et redoubla d'avantages.
N'hésiter pas aux moindres conseils, nous sommes à votre disposition.
Jane observa Dan en retenant un pouffement de rire. Cette bonne femme semblait tellement ridicule, c'était peut être méchant, mais il était impossible de ne pas trouver la scène hilarante. Dan la congédia avec une froideur et une politesse que peu de gens auraient eut le tact d'avoir. Jane lui fit un petit sourire amusé. La vendeuse ayant compris qu'elle ne pourrait pas devenir d'une antipathie hors du commun avec Dan se retourna vers la blondinette dorée avec un sourire ironique.
Dois-je vous renseigner sur la localisation des rayons femme ?
Jane arqua un sourcil. * Pour qui elle se prend cette bonne femme ? * Elle décida de la mener un peu en bateau. Après tout, rien de mieux que de prendre les gens pour des idiots quand ils vous rendent tellement bien la pareil, pas vrai ?
- Je vous remercie, mais je sais ou je suis. J'adore me travestir. J'ai décidé de changer d'orientation. Si vous êtes intéressée... Voila mon numéro !
Jane fit un large sourire en tendant une petite carte avec un numéro inscrit dessus. Ce n'était bien sur pas le sien. Devant l'air outré de la vendeuse, Jane éclata de rire et se mordit la lèvre pour ne pas partir dans un fou rire solitaire. Elle se retourna vers Dan et lui fit un petit sourire tout en continuant de se mordre la lèvre, comme si cela empêcherait son rire cristallin de sortir d'entre ses lèvres.
- Ahem.. Et si tu m'aidais à choisir tiens !
Elle lui fit un petit signe de tête pour aller loin de la vendeuse, qui était visiblement restée muette comme une carpe aux avances ironique de notre Blondinette. Il se présenta et... La présenta également. Elle lui fit un large sourire, comme toujours :
- Enchantée Dan .
Elle le regarda puis lança un petit regard en direction de la vendeuse qui était retournée a ses activités harponnage.
- J'y ai peut être été un peu fort finalement. dit elle en désignant la direction de la vendeuse.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Comment se faire faucher en 10 leçons : direction Burberry (Jane) Mar 7 Avr - 22:11 | |
| Jane commença à blablater sur le taux de réussite qu'elle avait de tomber sur la bonne personne au bonne endroit au bon moment, dans la minuscule ville de Londres. Et elle lui dit qu'elle parlait de trop. Il allait ouvrire la bouche pour lui assurait le contraire lorsqu'il vit la fameuse vendeuse marchait vers eux d'un pas décidé. Il se tut et remarqua que Jane avait ouvert la bouche pour parler juste avant de la refermer losrque la vendeuse s'était incrusté dans leur conversation. Si on pouvait appeller cela une conversation bien sur,parce que avec les 6 phrases qu'ils avaient échangés, les 80 mots pour être précis., on ne pouvait pas vraiment appeler cela une conversation, ou du mions une conversation suivie.
Suis la scène de le vendeuse.
Il adressa un sourire amusé à Serena.
Non, je pense que ça lui à fait du bien de se faire remballer par une vraie blonde. A moins que je me trompe bien sur, mais cela pourrait te sembler comme étant une question indiscrête, ou de la part d'un homme une question tout particulièrement dérangeante. Je sais pas, c'est ce que ma mère aurait pensé en tout cas ... Même si elle aussi est une vraie blonde. Je ne sais pas ce qu'en penserait ta propre mère. Ahem ... Moi aussi je parle trop.
Oui, il parlait trop. Et pour Daniel, c'était vraiment réelle, il s'adressait une presque parfaite inconnue et lui raconter que sa mère était une vraie blonde ... En plus, vu la couleur de ses cheveux, c'était assez dificile à croire, mais Dan avait herité des cheveux foncès de son père et des yeux bleus de sa mère, de sa peau trés clair aussi, mais pour le reste il était traits pour traits son père. C'était peut-être pour cette raison que sa mère s'était d'autant plus attaché à son fils à la mort de son époux, parce que Dan lui faisait panser au père de celui-ci. Enfin, cela ne changeait rien à la question, pourquoi se mettait-il à parlait comme ça ? Peut-être l'influence de Jane, qui paraissait on ne peut plus sociable. Il y eu un silence génant. Daniel, eut un sourire crispé, et passa la main dans ses cheveux bruns, qui était comme d'habitude plein d'épis. Enfait, Dan ne prenait plus la peine de se coiffer, puisqu'il savait pertinament que cela ne servait à rien, il se lavait les cheveux comme n'importe qui, mais n'utilisait jamais la brosse ou le peigne, d'ailleur il ne savait plus où ils étaient ces deux-là. Enfin, bref ... Il passa la main dans ses cheveux, un peu (beaucoup) géné. Ah la communication ! Quel art compliqué de parler avec des gens. Bien sur, cela dépend des individus, de leurs caractères ou de leur passé. Par exemple dans le cas de Jane, on pouvait pensé facilement qu'elle était anjoué et trés sociale. En voyant Dan, on comprenais qu'il était assez reserver et renfermer sur lui-même. Il y a là, deux comportements totalement differents réunis par un même evenement : la perte d'un parent. Dan ne serait serait jamais douté que Jane était orpheline, que sa mère avait périe dans un accident de voiture, et peut-être pouvait t'on devinait qu'il manquait une chose à Dan, mais il était tout de même dure de penser, qu'il avait perdu son père, quand aussi fou était-il, Monsieur BT'Crow, par une malencontreuse manoeuvre avait fait exploser son bureau d'alchimiste et chercheur travaillant sur les phénomènes surnaturels. Son bureau et lui avec. Il y avait réellement deux façons d'agoir differentes : Combler le vide par beaucoup d'amis et être trés enjoué, ou simplement, ne pas combler le vide, et laisser tomber le monde qui nous entoure. Malheureusement, ce sont des choses qui arrivent trop souvent, trop vite de perdre une personne aussi importante qu'un père ou une mère, et si Dan avait su la situation dans laquel ce trouvait Jane, il n'aurait pas parler de sa mère à lui, alors que Jane n'en avait plus. Par respect, et parce que lui, se sentait mal à chauqe fois qu'un camarade parlait de son mentor masculin devant lui. Un peu comme une plaie mal refermer qui s'ouvrait dans une effusion de sang. Mais il ne connaissait pas les sentiments de Jane. Il ne pouvait que decouvrire sa reaction. [Si j'ai fait une erreur dans le passé de Jane, dis-le moi, s'il te plait.Merci.^^.]
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| | | Jane Scott
Nombre de messages : 114 Age : 31 Localisation : Si tu cherches bien, tu me trouveras. ;) Date d'inscription : 03/03/2009
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| Sujet: Re: Comment se faire faucher en 10 leçons : direction Burberry (Jane) Mar 7 Avr - 23:14 | |
| [ T'inquiète pas. C'est juste. La mère de Jane est morte dans un accident de voiture. Histoire a la Peyton Sawyer dans OTh enfaite. x) ]
Elle rit quand il dit que ça avait sans doute fait le plus grand bien a la vendeuse, fausse blonde, de se faire rembarrer de cette façon. Elle l'observa débiter la couleur de cheveux de sa mère, sous entendre que ses propos étaient embarrassant pour elle . Il déclara ensuite qu'il parlait sans doute trop. Elle fit un petit non de la tête.
- T'inquiète pas. J'aime bien quand les gens parle..
Elle lui fit un petit sourire encourageant et poursuivit d'un air un peu interrogateur.
- Alors comme ça ta mère est blonde ? Et ben'. Faut en conclure que tu tiens plus de ton père.. Ou alors que tu t'es fait teindre les cheveux, ce qui m'étonnerais.
Elle passa également une main dans ses cheveux dorés, imitant un peu le geste de son interlocuteur.
- Je ferais un vrai Sherlock Holmes.
Elle secoua un peu la tête et baissa ensuite le regard. Lourd silence pendant lequel les deux jeunes gens échange quelques regards gênés. Jane était une fille au passé prenant. Elle avait perdu sa mère a l'age de 10 ans et avait longtemps culpabiliser. Si elle n'avait pas été a l'anniversaire, sa mère serait encore avec elle. C'était le genre de réflexions qui vous prenaient toute votre confiance et qui vous détruisaient petit a petit. Et puis elle avait rencontrer son plus vieil ami, avec qui elle avait retrouver un peu le gout de la vie. A qui elle avait promis de continuer d'avancer pour sa mère. Elle avait bien sur eu des moments ou les bras de la mort la tentaient pour une dernière entreinte, pour un dernier souffle. Mais elle avait tenu, malgré les 400 coups qu'elle avait fait dans tout les sens.
Elle regarda Dan. Son coté mystérieux et solitaire poussait Jane a en savoir plus sur lui. Il l'intriguait et poussait sa curiosité et sa sociabilité aux limites. Parler de parents.. De mères.. remontaient des souvenirs douloureux a la surface, mais elle garda la tête froide. Si elle avait apprit une chose, s'étaient d'empêcher ses sentiments de remonter a la surface pour ne pas dévoiler sa vie aux autres.
- J'espère que je ne prend pas ton temps.. C'est juste que... Je trouve ça ennuyeux.. On est pleins dans le même clans et on se parle jamais. C'est comme avec ma colocataire.. On a même pas pu vraiment faire connaissance depuis 2 mois de cohabitations. Enfin.. Bref.
Elle recommençait a débiter toute sa vie, pour changer. C'était un Tic chez elle mais bon. Elle reprit.
- Si tu veux que je te laisse, dis le. Y a aucun soucis. Je voulais juste faire un peu plus connaissance avec toi.
[ Désolée.. Je ne voyais pas quoi rajouter.. Si tu veux je le refais.. x( ]
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Comment se faire faucher en 10 leçons : direction Burberry (Jane) Sam 11 Avr - 13:21 | |
| [Non, c'est bon ... Et desoler pour le leger retard.]Il baissa la tête, presque honteusment, losrqu'elle lui dit qu'elle aimait lorsqu'on parmlait. Elle perdait son temps, la pauvre, avec Dan. Lui parlait avec un presque inconnue de tout et n'importe quoi, c'était bien une prèmière depuis plus de dix. Malgrés cela , sa langue se déliait et parlait, ouais. Il parlait ! Bizzare ... Ces cousins et son unique cousine, les seules avec qui il parlait sans oublier ses professeurs d'activité extra-scolaire, auraient ouvert de grands yeux, et les jumeaux, les deux chahuteurs de la famille, auraient bien ris ... Je ne parle pas beaucoup, géneralement ...Il jeta un cou d'oeil à son reflet dans un miroir proche d'eux. Ouais, pour ce qu'il se souvenait de son père, pour les dires de sa mère, pour les photos, il pouvait assurer que, en effet, il ressemblait à son père. Les même chevux, la même forme de visage, et puis, psycologiquement, il ressemblait à son père. Un peu bordelique, et même si il ne voulait pas croire aux histoires fabuleuse (un peu ridicule) de son père, il ne voulait pas y croire, mais au fond, il était bien obliger de se dire que rien était impossible et que toute légende était fondée sur des faits réelles, alors ... Pourquoi pas ? En plus cette histoire de lien avec son corbeau, cela semblait si suréaliste, bien qu'il sache pourquoi du comment.Ouais ... Mon père ... (sa tête tourne vers le côté et il observe un portant de pyjama masculin.) me ressemblait beaucoup. Ou plutot, dans la logique, je ressemble beaucoup à mon père. Et j'ai peu de ma mère, les yeux bleus et la peau trés pâle. C'est tout.Il eut un sourire amusé.Elle est dugenre trés maniaque ... Je suis plutôt bordelique, ca donne des scène de disputes pas mal. Mais, je ne la vois plus trés souvent ... Nous sommes en froid.Ouais, ils s'étaient disputés, pour une raison trés simple : le nouveau "compagnon" de sa mère. Depuis la mort de son père, c'était la première fois que Mme.BT'Crow "prenait du bon temps avec un homme", et ce n'était pas ce qui genait Daniel. Non le problème, c'est l"homme en question. Un petit homme rougeau, enrobé, bourgeois défortuné qui était tombé sur une veuve richissime au bout moment. Le dénommé Carl avait besion de rembouressait ses dettes acquises au jeux, lorsqu'il avait rencontré sa nouvelle proche amie. La somme des dettes representait environ 2/100 de la forutune des BT'Crow, c'était un hasard trés bien tombé. Mais Dan ne savait pas ce qu'il aimait le moins chez cet homme, ces petites manières de bourges ou son avarice incroyable, qui faisait qu'il reprochait à Dan de clacer un peu d'argent dans quelques paquets de cigarettes tous les mois et que monsieur se ventait d'avoir fait des affaires en achetant des habits habituellement chèrs à des prix bas. En plus, il avait une fille, et Dan, sans être non plus ego-centrique ni rien, refusait de perdre son "titre" de fils unique pour devoir supporter une gamine blonde de 12 ans qui se comportait comme si elle en avait 17. Ouais, il detestait de nouveau copain de sa mère et voyait d'ici, son compte en banque fermer pour faillite à cause de cette espèce de phoque qui aimait joué, malgrés son avarice qui le touché des qu'il s'agissait des autres. Mais bon, il se voyait mal dire ça à Jane. Pourtant ... Je ne supporte pas son noueau copain.Bizzarement ça lui faisait du "bien" de parler. Comme ça, sans arison, à uen fille qu'il ne conaissait pas vraiment, mai qui lui paraissait trés apte à ecouter et parlait avec les autres. Elle parla du clan.Non, tu ne me gènes absolument pas ... C'est vrai que c'est bizzare de ne s'être jamais parlé. Mais bon, je te l'ai déjà je crois, je ne suis pas trés ouvert d'habitude.Il baissa la tête, style enfant qui viens de faire une grosse bétise et qui va le dire à ses parents, en parlant par murmure.J'aime bien ... Ca change du silence totale, ca soulage presque. |
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